Remarque de l’auteur: Je ne suis pas sûr de ce qui m’a pris de vouloir écrire un poème sur le chat (comme vous pouvez le voir, j’ai choisi un grand nom pour le poème) ; Je viens de le faire, à l’improviste. J’ai dû être déclenché d’une manière ou d’une autre parce que je n’aime pas les chats. Pour être honnête, si Dieu m’avait donné le choix entre les chats et les cafards, je prendrais ce dernier : et je suis sûr que j’aurais pu être une personne plus heureuse. Je pense que les chats sont bons pour quelque chose, je ne sais pas quoi, peut-être pour les rats. Tout remonte à l’époque où j’étais scout, ou du moins c’est ce que dirait un psychologue : les flashbacks, le syndrome du lapin blanc. Quand j’étais en camping au camping St. Croix (Minnesota), quand j’avais environ treize ans, j’étais dans une grande tente avec des enfants, et devinez qui me réveille ? Ouaip, un chat ronronnait dans ma bouche, pattes sur ma gorge, et ça m’a fait peur quand j’ai ouvert les yeux et vu ces yeux de marbre fixer les miens.

Maintenant que j’y pense, ce poème est peut-être attendu depuis longtemps. En tout cas, je le dédie à tous les amoureux des chats, y compris ma femme :

Le poème du chat

Les chats, je ne m’en suis jamais occupé;

Ma femme avait-avant notre mariage-

Quinze d’entre eux-.

Ils sont trop seigneuriaux dans la maison

Pour moi-:

Trop aristocrate pour plaire.

Ils sont tout sauf ce qu’ils

Semble, et

Ils semblent surréalistes; et sans fin

Rêver ou peut-être intriguer

(Je ne peux pas faire la différence) – mais,

Une chose que je sais : ils ont mystique

Marble-eye-balls- : me donne le frisson.

#1065 06/01/06

EN ESPAGNOL

Traduit par Nancy Peñaloza

Edité par Rosa Peñaloza de Siluk

Le poème du chat

Par Dennis Siluk

Nota par l’auteur: No estoy seguro que consiguió en mí el deseo para escribir un Poema al Gato (como puedes ver seleccioné un gran nombre para el poema); sólo lo hice, cuando menos lo esperaba. Debo haber estado motivado de alguna manera, porque no me interesan los gatos. Para ser honesto, si Dios me da a escoger entre gatos y cucarachas, yo escogería a la última ; y estoy seguro que sería una persona más feliz. Pienso que los gatos son buenos para algo, no estoy seguro para qué, talvez para las ratas.

Todo esto proviene de cuando yo era un muchacho explorador boy scout, o al menos eso es lo que diría un Psicólogo: Escenas retrospectivas, el síndrome del conejo blanco. Cuando tenía aproximadamente 13 años de edad, estuve de campamento in Saint Croix (in Minnesota), yo me encontraba en una carpa grande con niños, y ¿adivina qué me despertó? Si, un gato ronroneando debajo de mi boca sus patas sobre mi garganta, y esto me sacó fuera de juicio, cuando abrí mis ojos y vi esas bolas de ojos mirando fijamente dentro de mis ojos.

Ahora que lo pienso, talvez este poema está demasiado atrasado. De cualquier modo, lo dedico a todos los amantes de gatos allí afuera, incluyendo a mi esposa :

Le poème du chat

Gatos, nunca me interesaron ;

Mi esposa tuvo-antes de nuestra boda-

Coing de ellos-

Ellos son demasiado arrogantes en el hogar

Para mí- :

Muy aristócratas- para complacerlos.

Ellos son todo pero no lo que

Parecen, y

Ellos parecen extraños, y soñadores

Interminables-o talvez fils maquinadores

(No puedo decir la diferencia)-pero,

Una cosa yo se : ellos tienen ojos

Místicos-que me dan escalofrió.

# 1065 6/Enero/2006